Coaching et pratique non directive : comment faites-vous !

Coaching et pratique non directive : un équilibre en tension !

Carl Rogers, psychosociologue américain a marqué profondément notre conception des relations humaines dans le champ thérapeutique en développant les principes d’une bonne communication dont nous nous servons aujourd’hui en coaching et en supervision avec nos client(e)s.

Il définit quelques principes pour établir un dialogue en vérité que nous pouvons résumer ainsi :

  • Parler avec des mots simples
  • Adapter ses gestuelles et postures pour éviter toute rupture d’alliance, de lien
  • Avoir une écoute authentique, bienveillante
  • Avoir une écoute active manifestant notre intérêt sincère et sans jugement par une reformulation adaptée…

Cette approche globale de la personne permet de nourrir son besoin de reconnaissance égotique et favorise la qualité de la relation.

En coaching nous utilisons, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie cette posture particulière parmi d’autres.

Néanmoins, une tension particulière s’exprime entre les deux polarités « donner du temps au client » d’un côté et « gérer le temps limité des séances et de leur nombre » dans le processus d’accompagnement.

C’est dans l’art de gérer habilement cette tension que se déploie le professionnalisme du coach et du superviseur.

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